Pourquoi pas une nouvelle mélodie [PV : Yu]

Qu'il faisait chaud...trop chaud pour rester cloitrer à l'intérieur du lycée...trop chaud pour aller en ville où la foule grouillait...assez chaud pour aller au bords de l'eau. Le lac serait parfait, se disait Yukari. Ce jour-là Yukari portait une robe grise pour moins attirer la chaleur. Un léger vent du sud soulevait légèrement la jupe en même temps qu'elle marchait...avec grâce.

Yukari se dirigea, toute seule pour une fois, vers le lac, vers l'air pur qu'il n'y avait pas en ville, vers...les lapins qui avaient creusés leur terrier près du lac, ils étaient blanc comme neige et c'était rare d'en voir des comme ça. Quand elle arriva au lac, le demoiselle enleva ses chaussures pour sentir l'herbe fraîche sous ses pieds et s'installa tranquillement, tel une fleur, près du lac. Le silence était apaisant, les lapins se rafraichissaient au bord de l'eau.

Puis ils partirent tous d'un coup...Yukari, dans un premier temps, ne comprit pas pourquoi, puis quand elle regarda le lac elle aperçu un jeune homme, blond, sortir la tête de l'eau. Il avait bien eu raison de plonger, et elle en avait aussi très envie, maintenant qu'elle l'avait vu dans l'eau...mais elle avait oublié son maillot de bain, très joli d'ailleurs. Elle regarda le blond avec avidité...qu'il en avait de la chance ! Puis elle vit qu'il était en train de rejoindre ses affaires, il était seul lui aussi...mais le lac était grand et elle était à l'autre bout...tant pis, bouger ne lui ferait pas de mal, elle commençait à avoir vraiment chaud au soleil. Mais elle mis quand même dix bonnes minutes à se décider de se lever. Finalement, Yukari se leva, doucement et contourna le lac en marchant au bord de celui-ci ; elle était toujours pieds-nu et portait ses chaussures à la main, il était agréable de marcher dans l'herbe.

Quand elle arriva à une dizaine de mètres du garçon elle le reconnut tout de suite : le King de l'université ! Ah ça ! La demoiselle ne s'y attendait pas, il était un dans les plus haut de Pandoras, il était sont aînée. pendant cinq bonnes minutes Yukari ne bougea pas, puis fidèle à elle-même elle avança à la rencontre du jeune blond. Elle se plaça derrière sa tête, il portait une paire de lunettes de soleil. Puis il les enleva, elle vit ses yeux, un seul mot les décrivaient : magnifique. Ils étaient d'un bleu magnifique.

"Salut"

Au début Yukari ne réagit pas, elle l'avait à peine entendu tellement elle était plongée dans la contemplation de ses yeux. Puis avant qu'elle ne puisse répondre il lui posa une question.

"On se connait non ?"

Pendant un temps la jeune fille se sentit vexée, apparemment tout le monde n'avait pas encore retenu son prénom, elle la Queen du lycée, celle qui a été la première a être désignée Queen en première année ! Et elle lui répondit sur un ton un peu froid, peut-être que si il l'avait reconnu elle aurait été un peu plus gentille...

- Bien sûr, Akio Fujita, King de l'université ou du campus, comme tu préfère.

Elle avait déblatérer son titre d'un coup. Puis son regard s'adoucit, et elle lui répondit sur un ton plus calme, en une courbette. Et elle avait un sourire qui en disait long sur ce qu'elle pensait.

- Ai Yukari, Queen du lycée. Mais appel-moi Yu. Et oui on se connaît, en tout cas moi je te connait.

Cette dernière phrase avait été dite avec une pointe d'amertume. Mais bon elle n'allait pas lui en vouloir tout le temps. Puis sur cette dernière pensée, elle alla s'installer dans l'herbe, à côté d'Akio, les jambes tendus, les bras lui servant d'appui. Puis sur un ton rêveur elle dit :

- Tu as bien de la chance de pouvoir te baigner...Je n'ai pas pensé à prendre mes affaires...

"Je crois que j'ai pris le maillot de ma sœur, tu crois que ça t'irais ?"

Yukari ne capta pas tout de suite ce que venait de dire Akio...le maillot de sa sœur... Cette information mis quelques minutes à arriver jusqu'à son cerveau. Hein !? Le maillot de sa sœur ?! Mais qu'est-ce qu'il fabriquait avec le maillot de sa sœur ? C'était une blague hein ? Alors Yukari tourna la tête vers le blond et le regarda...fouiller dans son sac, toute sortes de choses en sortait, un médiator, des partitions et des tongues.
Tient...il joue de la musique, ce fut les pensées de la demoiselle quand elle vit le médiator et les partitions. C'est à ce moment là qu'elle remarqua pour la première fois la guitare qui était posée à côté du jeune homme.
Quand il l'interpela, il la sortie de ses pensées, et quand elle vit le "maillot de sa sœur" elle prit un air étonné...Il baladait vraiment le maillot de sa sœur dans son sac. Alors là Yukari n'avait encore jamais vu ça. Mais bon, il lui proposait un maillot et elle n'allait pas refuser, alors elle l'attrapa.

- Merci.

Puis elle s'en alla un peu plus loin derrière un arbre pour se changer, Yukari le regarda une dernière fois et vit qu'il restait coucher en jouant de la guitare, au moins il avait la gentillesse de ne pas regarder. Alors elle se déshabilla et mis le maillot de bain, qu'elle dû serrer au maximum pour qu'il ne glisse pas, étant légèrement trop grand pour elle. Dommage elle ne grandirait plus. Mais en tout cas, ce maillot était très joli. Yukari sortit de derrière l'arbre et rejoignit Akio, elle l'écouta pendant quelques minutes jouer de la guitare et chanter. Certe il jouait bien de la guitare, mais le chant c'était tout à fait autre chose et sans aucun scrupule elle lui dit:

- Tu chante vraiment faux.

Un petit rire moqueur monta dans sa gorge, un petit rire qu'elle n'avait pas pu retenir. Puis elle prit la direction du lac, elle y mit d'abords une pointe de pied, l'eau n'était ni trop fraîche, ni trop chaude, juste ce qu'il fallait. Elle se tourna vers Akio, les cheveux avec un temps de retard décrivaient un cercle en tournant. Et elle se trouva juste au bords de la rive dos au lac brillant avec les reflets du soleil.

- Tu aurais pas un élastique aussi par hasard ? On ne sait jamais, tu as bien sortis un maillot de bain. Très joli d'ailleurs.

La demoiselle avait un de ces sourires moqueur, ce n'était pas souvent qu'on voyait un garçon avec toute la tiraille d'une fille. Et maintenant qu'elle était face à lui, elle le détailla...y a pas à dire...ce garçon avait un beau corps, on comprenait facilement pourquoi il était le King. Yukari joignit ses mains dans son dos en attendant la réponse du blond. Puis elle se demanda si après cette petite baignade rafraichissante elle pourrais elle aussi jouer un morceau de guitare, il devait bien y en avoir un sympa dans son petit tas de partition. Et puis il serait sûrement d'accords de lui prêter sa guitare, après tout elle savait en jouer elle aussi, et si elle devait chanter...euh...Non, il valait mieux qu'elle ne chante pas, ça pourrait être pire que l'autre.

"Non désolé mon sac n'est pas la caverne d'Ali-baba tu sais..."

- Bon pas grave, ça fera l'affaire sans.

Yukari le regarda enlever ses lunettes, poser sa guitare...et avant qu'elle ne puisse réagir il s'était lever et avait courut vers elle pour la prendre dans ses bras et se jeté à l'eau avec elle. Elle poussa un petit cri au moment de sa rencontre avec l'eau, la demoiselle n'avait pas prévu de rentrer dans l'eau comme ça, le blond allait entendre parler d'elle et pas qu'un peu. Au moment où elle était immergée dans l'eau elle se dégagea de l'idiot. Oui un idiot ! Seul un idiot déclencherai sa colère, et pour la deuxième fois en peu de temps, même si la première elle s'était juste sentit vexée. Mais ce n'était pas une raison pour la provoquée une deuxième, consciemment ou inconsciemment. Yukari remonta à la surface de l'eau pour reprendre de l'air, avant de plonger elle n'avait pas eu le temps de prendre son souffle.

Yukari regarda autour d'elle, personne, où était-il passé ? Cet idiot avait prévu son coup et pouvait sûrement tenir un bon moment en apnée. Elle se sentait tel une proie dans un piège, ce blondinet aurait intérêt à vite refaire surface, ce qui se passa quelques secondes plus tard, mais trop loin. Alors au lieu d'aller jusqu'à lui...

- IDIOT ! RAMÈNE-TOI ICI TOUT DE SUITE !!!!!!!!

...Elle cria...Si personne ne l'avait entendu elle avait de la chance. Par contre s'il ne se ramenait pas tout de suite, lui n'aurait pas de chance. Ne le voyant pas avancé plus vite vers elle, Yukari nagea à sa rencontre, ses cheveux ébène flottant à la surface de l'eau. Elle arriva à son niveau, elle le regarda fixement dans ses yeux bleu, elle le contourna et arriva derrière son dos et sans prévenir elle lui sauta dessus les mains sur la tête pour essayer de le faire couler. Mais c'était en vain...

- Je...vais...te...faire...couler...idiot...

...La différence de poids et de force était bien trop grande, malgré que Yukari s'acharne à lui mettre la tête dans l'eau. Finalement, à bout de force elle se laissa échouer sur le dos d'Akio.

- Tu ne perds rien pour attendre toi !

Disait-elle entre deux souffles, sur un ton de colère. Puis elle se laissa glisser de son dos pour plonger dans l'eau, elle attrapa le pied du jeune homme et se fit la plus lourde possible, ce qui était assez difficile, pour pouvoir l'entraîner dans le fond du lac. Et comme la partie du lac où ils se trouvaient était profonde mais pas trop, elle sentit vite le sol sous elle et s'agrippa comme elle pouvait dans le sol, en regardant autour d'elle, Yukari vit plusieurs herbes aquatiques longues et elle attacha le pied d'Akio avec l'une d'elle, il saurait se libérer facilement, c'était un homme après tout.
La demoiselle retourna à la surface reprendre de l'air, mais quand elle sortit elle remarqua qui lui manquait quelque chose...Où était passé le haut du maillot de bain ?! Si c'est ce blond qui l'a ce n'est pas avec une plante aquatique que je l'attache, mais un boulet ! Il pourra discuté avec son frère comme ça.

Rien ! Il n'avait rien, Yukari n'avait rien vu sur lui, quand il était sortit de l'eau, qui ressemblai à un haut de maillot de bain. Ce n'était pas possible ! Cette journée ne lui apportait que des problèmes ! Si elle était sagement restée de l'autre côté du lac, rien de tout cela serait arrivé ! Si IL n'avait pas été là ce jour-là rien ne serait arrivé, IL était la cause de tout ses problème dès le moment où elle l'avait rencontré. Yukari s'arrêta dans l'eau, il ne fallait surtout pas qu'elle sorte de l'eau...mais comment allait-elle faire ? Le haut du maillot, qui elle le savait était trop grand dès le départ, devait être au fond du lac si IL ne l'avait pas.

Bon déjà calmons-nous et faisons le point. Je suis dans le lac avec le haut du maillot de bain au fond. Sur la rive se tient le blond. Ensuite, il faut que je sorte de l'eau. Mes affaires ne sont pas loin à côté des siennes. Bien.

- Retourne-toi s'il te plait. Et ne regarde sous aucun prétexte !

Même si elle savait qu'elle n'avait presque rien, il restait un garçon. Alors elle alla vers le bord du lac et retourna sur la terre ferme, la jeune fille était trempée de la tête aux pieds. Elle se dirigea donc vers leurs affaires, mais glissa au sol en un petit cri de surprise avant de s'étaler par terre sur le dos. Par prudence, elle rappela à Akio de ne pas se retourner. Et elle se releva, de la terre l'avait salit, pas grave, elle prendrai une douche ce soir-là. La demoiselle commença à fouiller dans les affaires éparpillée, puis dans le sac du jeune homme...rien...pas une serviette !

- Franchement tu amène le maillot de ta sœur mais tu n'es pas capable d'emmener une serviette.

Elle avait dit cette phrase sur un ton calme, elle devait rester calme dans ce genre de situation, il ne servait à rien de s'énerver. C'est ce qu'elle essayait de se persuader et ça marchait, peu à peu sont pou se calma et son esprit aussi. En restant calme il sera plus facile de trouver une solution au problème, car tout problème a sa solution. Pour l'instant elle se dirigea vers ses affaires et les prit pour aller dans le bois qui bordait le lac. Au moment d'entrer dans le petit bois un oiseau en sortit, surprise par cet oiseau, la jeune fille tomba sur les fesses, encore une fois.

-Stupide oiseau. Marmonna-t-elle.

Yukari se releva pour la énième fois et entra dans le petit bois, ici au moins elle serait à l'abri des regards. Elle mit sa robe puis enleva se qui restait du maillot de bain et remit sa culotte. Puis après sa, bien que sa robe fut trempée par ses cheveux et son corps, elle sortit du petit bois pour aller chercher ses chaussures. Au moins elle n'avait plus chaud, mouillée comme elle était. Et elle se tourna vers Akio.

- Un blond reste un blond, qui qu'il soit.

Yukari resta...sans réaction devant ce que venait de dire Akio...Pas qu'elle soit insensible à ces phrases, mais, comment dire, ces deux phrases l'avait comme "figé". Particulièrement la deuxième, elle savait qu'elle était trop franche dans ce qu'elle disait, et que ça faisait mal aux personnes qui subissaient ses phrases...Mais elle n'arrivait pas à changer, elle voulait mais elle ne pouvait pas, elle n'y arrivais pas, c'était dans sa nature, elle était faite ainsi.
Elle regarda, sans bouger, partir Akio, elle n'avait pas le droit de l'obliger à rester, elle l'avait pensait déjà l'avoir trop fait souffert de ses remarques acerbes. Elle voulait le faire rester, mais il était déjà trop tard, il disparaissait dans les arbres, seul le souffle du vent transporta son murmure.

- Akio...

Elle resta quelques minutes comme ça, sans bouger, méditant sur ses remords, ce qui prouvait que finalement la demoiselle avait un cœur... Mais peut-être en demandait-elle trop aux autre, à chaque fois ? Finalement, Yukari avança vers le petit bois, dans la direction où avait disparu un peu plus tôt, quand elle arriva de l'autre côté, elle vit des bancs, un banc en particulier, celui où était assis Akio. Elle se dirigea vers celui-ci, ses yeux affichant ses remords, son visage affichant sa tristesse mêlée à la demande d'un pardon muet. Il se leva et se dirigea vers plusieurs personnes, que cherchait-il ? Yukari ne le savait point. Et elle ne cherchait pas à le savoir. Elle cherchait plutôt comment se faire pardonner, alors qu'elle a été si dur avec lui, elle cherchait à expier ses fautes, elle voulait s'excuser à au moins une personne pour tout ce qu'elle avait dit.
Akio revint vers elle, une cigarette allumée à la main, et se rassi, elle ne comprit pas tout, n'était-il pas en colère contre elle ? Ses yeux affichèrent une expression de surprise mêlée à celle du remords. Pourquoi ? Des enfants passèrent devant eux, en riant, en jouant...cela lui manquait...les jeux qu'elle faisait avec les enfants de l'orphelinat lui manquaient, les enfants même lui manquait... Quand elle retourna la tête vers Akio, Yukari le vit se débattre avec une mèche qui s'était coincée dans une de ses boucles d'oreille.

- Attends.

Elle dirigea ses mains vers la boucle d'oreille d'Akio, d'abords hésitante, puis elle se ressaisi. Peut-être ne lui avait-il pas encore pardonné, mais il avait besoin d'un petit coup de main. Avec ses doigts de fée, Yukari enleva la mèche et lui la posa derrière l'oreille, ses doigt s'attardant sur les doux cheveux blond d'Akio, mais elle retira sa main vite fait. Avec une voix douce elle lui dit :

- Voilà c'est enlevé... Pardon.

Voilà...elle s'était excusé, son pardon était rempli de tout ses sentiments, c'était un pardon sincère. Puis elle se leva d'un coup et se mit face à Akio, elle afficha un air sérieux.

- Si tu ne veux pas me pardonner, je comprendrais. Je sais ce que j'ai fait et je le regrette. Je suis comme par nature et je ne peux rien y changer, alors la seul chose que je peux faire, c'est demander le pardon. (Et elle ajouta en un murmure à peine audible) Je suis vraiment désolé...

Elle avait maintenant la tête baissé vers le sol, les cheveux recouvrant un peu son visage, un visage qu'elle ne voulait pas lui montrer et elle avait les mains dans le dos, se balançant légèrement sur ses talons.

"Pleure pas, c'est fini maintenant..."

- Je ne pleure pas.

Yukari avait dit cette phrase tout en se retournant, une fois dos à Akio elle avait repoussé ses cheveux et essuyé de sa main une unique larme qui coulait encore après qu'il ait essuyé les autre. Sa main était douce, elle se souviendrais de son contact toute sa vie. Mais il fallait se ressaisir, ce n'était pas dans ses habitudes de pleurer, et encore moins de pleurer devant quelqu'un, il fallait qu'elle soit vraiment à bout...ou que, comme aujourd'hui, elle regrette vraiment ce qu'elle avait fait. Mais bon, maintenant elle était redevenu elle-même et s'était calmée. Alors elle souffla un grand coup et se retourna vers le King.

- On devrait peut-être retourné près du lac chercher tes affaires, tu es partis sans...

Et sans l'attendre, elle se dirigea vers le petit bois pour retourner au lac, elle l'atteignit sans problème...mais se trouvais à quelques mètres de leurs affaires. Yukari poussa un petit soupir et regarda vers le lac, la fin d'après-midi approchait et des reflets rougeoyant prenaient place sur le lac, qui brillait. Après avoir observé ce joli paysage, la jeune fille retourna vers les affaires d'Akio. Yukari se mit à genoux et elle ramassa le bas du maillot de bain de la sœur d'Akio et le plia, ensuite elle ramassa les affaires d'Akio qui trainaient au sol. Elle avait prit cette habitude de tout ranger il y a longtemps et l'avait gardée. Le jeune homme ayant son sac, elle posa ses affaires en un tas, puis elle porta son regard sur la guitare qui était posée sur sa housse...Toujours au même endroit depuis qu'il l'avait posé à ce moment là...Et quand elle y réfléchissais, elle se disait que sa réaction avait été idiote, mais ce n'était plus le moment de pensé à ça, c'était le passé, et là, maintenant, c'est le présent et elle s'était calmée. Yukari se dit plus à elle même, qu'à quelqu'un d'autre.

- J'irais chercher le haut du maillot demain.

Puis d'un coup son ventre gargouilla...Elle n'avait rien mangé depuis ce midi, et encore ce midi là, elle n'avait pas manger grand chose tellement il faisait chaud, et quand il faisait Yukari n'avait pas faim. Voyant Akio à côté d'elle, la demoiselle fit une tête gênée avec un petit rire qui restait dans ce même registre, pas un de ces rires qu'elle avait eu avec lui auparavant.

- Tu n'aurais pas quelque chose à manger ?

Elle le regarda avec ses yeux bleu/gris, d'un air suppliant. N'importe quoi ferait l'affaire, mais il fallait qu'elle mange quelque chose. Elle c'était à présent assise, en tailleur, les bras tendus avec les mains au niveau de ses pieds.