Ce jour là c'était le premier jour de Nao.
Elle se souvenait qu'elle avait marché pendant longtemps avant d'arriver dans CE collège.
CE collège dont elle avait toujours rêvé.
Un collège ou tout le monde pouvait être accepté, Même les poupée rebelle, ce qu'était Nao.
Donc, elle était là, à attendre devant la porte, elle n'osait pas l'ouvrir, elle pensait à tout ce qui allait ce passer quand elle l'aurait franchi, la traiterait-on comme un robot?
Ou comme une humaine? Il y avait-il d'autres poupées rebelles comme elle?
Elle ne le savait pas, à vrai dire elle pensait qu'elle serait la seul et que les collégiens ne serait pas très accueillant avec elle.
Dehors, le collège était bien entouré, après tout Nao était à Tokyo et Tokyo à plein de gratte-ciel...etc surtout à l'époque où elle était.
La ville était très bruillante; il y avait des trafics de voitures dans toute la ville.
Donc Nao était devant cette porte,les valises à la main. Elles n'étaient pas trop lourde, puisque la jeune poupée n'avait pas vraiment beaucoup d'affaire. Quelque minute passait jusqu'à se quelle se décida à l'ouvrir. Elle toucha la porte du bout de ses doigt pour sentir la peinture de la porte qui s'effritait dans ses doigt. En forçant un peu elle réussi à l'ouvrir elle fut surprise par se qui l'attendait. Depuis les cataclisme qui s'était passés il y avait longtemps les écoles n'étaient plus dans un très belle état, mais celle là était comme toute neuve.
Un long couloir s'étendait devant elle, il brillait comme si quelqu'un l'avait froté de toute ses force pour donner une telle beauté.
Le couloir se divisait en trois parti une devant une à droite et une à gauche bien évidemment. Toute était très jolie, mais il n'y avait personne. Nao était toute seul et il n'y avait personne pour l'accueillir. Pourtant, elle était à l'heure de la pause, ça va surement sonner d'une minute à l'autre se disait-elle, elle aimait bien cette expression que les humain employait, à vrai dire toute les expressions des humains la fascinait, il avait une façon de relier la réalité avec l'imaginaire qu'elle aimait bien même si celle là n'avait rien d'imaginaire.
D'un coup elle entendit un bruit assourdissant, un son très aigu et monotone.
Par ceci elle vit tout les collégiens se précipiter pour sortir de leurs classe.
Elle était au milieu d'une foule, avec ses valises à la main, elle voulait que quelqu'un pour lui montrer le chemin mais personne se s'arrêtait, alors elle prit son courage à deux main (encore une expression qu'elle aimait bien) se posta devant une personne pour lui dire:
-Bonjour, je suis nouvelle, je m'appelle Naoje ne sais pas vraiment trop aller à vrai dire.... pourrais-tu me montrer le chemin?
Par cette question elle attendit sa réponse avec impatience espérant ne pas être rejeté.